Médecine Douce
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Aussi nommée « médecine non conventionnelle », « médecine alternative », « médecine naturelle » ou encore « médecine parallèle », l’expression médecine douce rassemble sous cette appellation un ensemble de méthodes de traitement souvent issues des traditions ou d’expériences médicinales ayant émergé du XIXᵉ siècle jusqu’à très récemment.
Pourtant, très nombreuses, elles ont en commun la non-utilisation de médicaments et de molécules chimiques. Certaines sont dites manuelles comme la chiropraxie, l’étiopathie ou encore l’ostéopathie, d’autres plus spirituelles comme l’hypnose et la sophrologie. Les médecines douces excluent purement et simplement tous les produits pharmaceutiques. Au contraire, elles privilégient, comme son nom l’indique des moyens naturels, que ce soit par l’ingestion de plantes ou par de simples massages. Il s’agit d’écouter son corps et ses besoins afin de choisir LA médecine douce qui vous correspond.

Médecine douce : comment trouver la sienne ?
Les médecines douces ne répondent pas toutes aux mêmes besoins et pour certaines d’entre elles, n’auront pas les mêmes effets d’un individu à l’autre. C’est pourquoi, il s’agit de se renseigner et de tenter l’expérience afin de se faire une idée précise.
Les trois formes les plus populaires des médecines douces sont :
- La médecine douce en massage
- La médecine douce en méditation
- La médecine douce à consommer
Médecine douce en massage
Quoi de plus ressourçant qu’un bon massage ? Prendre du temps pour soi, tout le monde s’accorde à le dire, c’est plutôt plaisant. Mais quand on sait que certains massages, en plus de détendre permettent de recouvrer la santé, on dit oui sans hésiter !
- L’acupuncture
- Les cures thermales
- Le massage traditionnel ayurvédique
Médecine douce en méditation
Les médecines douces ne se résument pas qu’aux massages.
En effet, un de leurs objectifs est le bien-être et cela passe souvent par une quête intérieure entre respiration et recentrage sur soi.
- La luminothérapie
- L’hypnose
- Le yoga
Médecine douce à consommer
Qu’est-ce que consommer de la médecine douce ? Il s’agit là d’appliquer sur soi ou d’ingérer des produits d’origine naturelle dans le but d’améliorer ou de maintenir sa santé et son bien-être. Nous aurions évidemment pu parler des régimes alimentaires qui, pour certains, s’assimilent à des médecines douces par leur philosophie respectueuse du corps et de l’esprit. Pour exemple, les préceptes de la médecine ayurvédique s’appliquent également à l’alimentation et il est intéressant de les étudier.
Pour autant, j’ai choisi de vous présenter deux formes de médecine douce en rapport avec la consommation :
- La phytothérapie
- L’homéopathie
La médecine douce et son remboursement par les mutuelles
Puisqu’elle est fréquemment pratiquée par des médecins non conventionnés, la Sécurité sociale ne rembourse pas les frais liés à la médecine douce. En revanche, certaines branches conventionnées (comme l’acupuncture) sont prises en charge à hauteur de 35% par la Sécurité sociale.
Quant aux mutuelles santé, certaines prennent en charge (selon les offres) de façon intéressante les frais de médecine douce. Il faut donc se renseigner sur ses besoins de santé réels et comparer les devis de mutuelles pour choisir celle qui semble le plus adapté à son profil.
Une ou des médecines douces ?
On dénombre aujourd’hui un très grand nombre de médecines alternatives entrant dans la définition de l’expression « médecine douce ». La médecine douce est donc plurielle et chacun de ses pôles possède des caractéristiques et des philosophies bien précises.
- L’homéopathie : reposant sur trois pôles (la similitude, l’individualisation et enfin l’infinitésimal), l’homéopathie est une thérapie utilisant des substances actives en quantités minimales pour observer leurs effets.
- L’acupuncture : issue de la médecine traditionnelle chinoise, elle consiste à piquer divers endroits précis du corps pour provoquer une action voulue : lutter contre des douleurs inflammatoires, guérir certaines maladies, etc.
- L’oligothérapie : soins à base d’oligo-éléments (minéraux présents dans le corps en quantité infime : iode, manganèse, chrome, etc) agissant comme catalyseurs.
- Le massage : techniques utilisant les mains et/ou d’autres parties du corps pour exercer des points de pression sur les muscles dans le but de les détendre ou de les stimuler.
- L’hypnothérapie : utilisation de l’hypnose à des fins thérapeutiques : soins du stress, insomnies, angoisses, etc.
- Le yoga : issues de la médecine indienne, ces pratiques d’étirement et de relaxation visent à assouplir le corps, à contrôler le mouvement et le rythme de son souffle.
Quelles pratiques ?
La médecine douce se démarque de la médecine officiellement reconnue et utilise d’autres formes thérapeutiques. Ainsi, elle exclut tout recours à l’usage de produits issus de l’industrie pharmaceutique et à la chirurgie et préfère à cela l’utilisation de moyens et techniques naturels : huiles essentielles, plantes, massages, jeûne, etc.) Leur but principal est de promouvoir le bien-être, mais également de prévenir les maladies.
La médecine douce aujourd’hui
Autrefois regardées avec plus ou moins de dédain par les médecines traditionnelles qu’elles considéraient comme « pseudo-scientifiques », les médecines douces ont aujourd’hui fait leur preuve et on observe un véritable engouement pour ces pratiques en particulier en Europe du Nord, en France et la plupart des pays latins. En 2014, plus de 30% des patients déclarent faire confiance à l’homéopathie et 25% aux techniques manuelles. Les femmes sont plus sensibles à ce genre de médecine.
Pourtant, il ne faut pas oublier ses limites et la médecine douce ne se substitue pas aux médecines plus officielles. Elle doit plus être considérée comme un complément à la médecine officiellement reconnue et être utilisée dans des cas bien précis. Attention : certains de ces métiers sont accessibles sans aucun diplôme ni aucune agrégation.
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