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Meilleure mutuelle pour vos remboursements médecine douce

Aussi nommée « médecine non conventionnelle », « médecine alternative », « médecine naturelle » ou encore « médecine parallèle », l’expression médecine douce rassemble sous cette appellation un ensemble de méthodes de traitement souvent issues des traditions ou d’expériences médicinales ayant émergé du XIXème siècle jusqu’à très récemment.

La médecine douce et son remboursement

Puisqu’elle est souvent pratiquée par des médecins non conventionnés, la Sécurité Sociale ne rembourse pas les frais liés à la médecine douce. En revanche, certaines branches conventionnées (comme l’acupuncture) sont prises en charge à hauteur de 35% par la Sécurité Sociale.

Quant aux mutuelles santé, certaines prennent en charge (selon les offres) de façon intéressante les frais de médecine douce. Il faut donc se renseigner sur ses besoins de santé réels et comparer les devis de mutuelles pour choisir celle qui semble le plus adaptée à son profil.

Une ou des médecines douces ?

On dénombre aujourd’hui un très grand nombre de médecines alternatives entrant dans la définition de l’expression « médecine douce ». La médecine douce est donc plurielle et chacun de ses pôles possède des caractéristiques et des philosophies bien précises.
• L’homéopathie : reposant sur trois pôles (la similitude, l’individualisation et enfin l’infinitésimal), l’homéopathie est une thérapie utilisant des substances actives en quantités minimales pour observer leurs effets.
• L’acupuncture : issue de la médecine traditionnelle chinoise, elle consiste à piquer divers endroits précis du corps pour provoquer une action voulue : lutter contre des douleurs inflammatoires, guérir certaines maladies, etc.
• L’oligothérapie : soins à base d’oligo-éléments (minéraux présents dans le corps en quantité infime : iode, manganèse, chrome, etc) agissant comme catalyseurs.
• Le massage : techniques utilisant les mains et/ou d’autres parties du corps pour exercer des points de pression sur les muscles dans le but de les détendre ou de les stimuler.
• L’hypnothérapie : utilisation de l’hypnose à des fins thérapeutiques : soins du stress, insomnies, angoisses, etc.
• Le yoga : issues de la médecine indienne, ces pratiques d’étirement et de relaxation visent à assouplir le corps, à contrôler le mouvement et le rythme de son souffle.
• Etc.

Mutuelle-généraliste 2

Quelles pratiques ?

La médecine douce se démarque de la médecine officiellement reconnue et utilise d’autres formes thérapeutiques. Ainsi, elle exclut tout recours à l’usage de produits issus de l’industrie pharmaceutique et à la chirurgie et préfère à cela l’utilisation de moyens et techniques naturels : huiles essentielles, plantes, massages, jeûne, etc.) Leur but principal est de promouvoir le bien-être, mais également de prévenir les maladies.

La médecine douce aujourd’hui

Autrefois regardées avec plus ou moins de dédain par les médecines traditionnelles qu’elles considéraient comme « pseudo-scientifiques », les médecines douces ont aujourd’hui fait leur preuve et on observe un véritable engouement pour ces pratiques en particulier en Europe du Nord, en France et la plupart des pays latins. En 2014, plus de 30% des patients déclarent faire confiance à l’homéopathie et 25% aux techniques manuelles. Les femmes sont plus sensibles à ce genre de médecine.
Pourtant, il ne faut pas oublier ses limites et la médecine douce ne se substitue pas aux médecines plus officielles. Elle doit plus être considérée comme un complément à la médecine officiellement reconnue et être utilisée dans des cas bien précis.
Attention : certains de ces métiers sont accessibles sans aucun diplôme ni aucune agrégation.